Questions Fréquentes

Questions diverses

Comment devenir soigneur animalier ?

L’expérience et une bonne connaissance de la biologie animale priment pour ce métier passionnant mais physique qui demande polyvalence et sens aigu de l’observation. Il est préférable de passer par une école de soigneurs animaliers qualifiante telle que :

Vous souhaitez faire un stage dans un parc zoologique ? Pensez à demander une convention de stage à votre école, université ou à Pôle emploi.

Nous précisons que nous ne disposons pas de liste d’établissements proposant des contrats en alternance, ou acceptant en stage des élèves mineurs. Pour toute demande de ce type, nous invitons à vous adresser directement aux parcs qui vous intéressent.

D’où viennent les animaux des parcs zoologiques ?

Les animaux des parcs zoologiques sont pour la grande majorité nés et élevés en parcs (mais cela peut être différent par exemple dans le cas d’accueil d’animaux saisis ou abandonnés par des particuliers, ou de mesures conservatoires décidées par l’UICN). 

Les populations des espèces menacées sont gérées au sein de programmes d’élevage européens (EEPs) qui sont coordonnés par un scientifique dédié afin d’éviter la consanguinité. Dans une démarche déontologique visant à favoriser ces programmes à but de conservation, les animaux en voie de disparition sont ensuite placés en prêts d’élevage, donnés ou échangés gratuitement entre les parcs sans valeur marchande.

Depuis 1975, les espèces menacées d’extinction sont protégées par la mise en œuvre de la Convention de Washington (dite CITES). Cette convention, ratifiée par la France en 1978, règlemente au niveau international les importations et exportations de spécimens de faune et flore sauvages prélevés dans le milieu naturel afin de s’assurer que cela ne nuit pas à la survie de l’espèce considérée dans la nature.

(CITES : http://www.cites.org/fra/index.shtml).

Quelles sont les espèces réintroduites par les parcs zoologiques ?

En matière de conservation, la réintroduction est la dernière chance de l’espèce lorsque toutes les autres actions de conservation dans la nature ont échoué et que malheureusement l’espèce s’est éteinte localement.

Une réintroduction est un processus complexe, long, couteux et surtout dangereux tant pour les animaux réintroduits que pour la faune locale (transmission de pathogènes, etc).

Depuis plus de 40 ans, les parcs zoologiques, en tant que conservatoires d’espèces menacées, ont initié, coordonné ou participé à de nombreuses réintroductions. La plus connue est celle du Cheval de Przewalski depuis le début des années 1990, mais on peut aussi par exemple citer :

  • Au milieu des années 70 – Le faucon crécerelle de l’île Maurice : Durrell Wildlife Conservation Trust
  • Dans les années 80 – le pigeon rose de l’île Maurice : Durrell Wildlife Conservation Trust
  • Puis, la perruche de l’île Maurice : Durrell Wildlife Conservation Trust
  • Depuis 1981 – le vautour fauve en France, coordonné par la LPO, et en Bulgarie : Dons d’animaux du BioParc de Doué, et d’autres
  • Milieu des années 80 – le Tamarin Lion Doré (EN) au Brésil : Zoo de Washington avec la collaboration de plusieurs zoos européens dont le BioParc de Doué, le Zoo de La Palmyre
  • De 1985 à 1987 – le Cerf du Père David en Chine : à partir d’animaux issus des parcs zoologiques européens
  • Début 1990 – le Condor de Californie aux Etats-Unis : Zoo de San Diego et Zoo de Los Angeles
  • Depuis 1992 – le vautour moine (NT) en France, coordonné par la LPO : Dons d’animaux du Zoo d’Anvers, du BioParc de Doué, Parc zoologique et botanique de Mulhouse, et d’autres
  • En 1999 – le Tamarin Lion Noir au Brésil : dons d’animaux du Durrell Wildlife Conservation Trust
  • Depuis 2001 – Grues de Mandchourie et grues à cou blanc en Russie : Don d’œufs du BioParc de Doué, du Zoo des Sables
  • Dans les années 2000 – Le Bongo au Kenya : Zoos nord-américains
  • Depuis 1986 – le Gypaète barbu en Europe

Le 13 juillet 2007, un gypaète barbu mâle né au Puy du Fou est réintroduit en Autriche en même temps qu’une femelle née au Zoo de La Garenne en Suisse, d’autres parcs ont également donné des animaux : Zoo de Wuppertal, le Donjon des Aigles, le MNHN, etc

  • Depuis août 2007 – Vautours fauves en Bulgarie (ONG bulgare FWFF Wild Fauna and Flora Fund) : Dons d’animaux du BioParc de Doué, du Parc zoologique et botanique de Mulhouse, Parc Zoologique de Paris, du Parc animalier de Sainte-Croix et bien d’autres
  • Depuis 2008 – Cochons pygmés en Asie du Sud Est : Durrell Wildlife Conservation Trust
  • Gorilles des plaines de l’Ouest au Congo et Gabon : Dons d’animaux des Zoos de Howletts et de Port Lympne qui font partie de la Fondation Aspinall, et du ZooParc de Beauval en 2019
  • Depuis 2010 – Manchot de Humboldt au Chili : Dons d’animaux envoyés au Chili par le ZooParc de Beauval et le Parc de Villars les Dombes ; les jeunes issus des pontes de ces animaux sont réintroduits.
  • Le Condor des Andes (NT) réintroduit de l’Argentine au Vénézuela, programme notamment coordonné par la Fundacion Bioandina Argentina : Don d’un individu du Grand Parc du Puy du Fou
  • En 2017 : Langur de Java : Dons de 2 animaux du ZooParc de Beauval 
  • En 2019 – Rhinocéros noir (CR) au Rwanda : Dons de 5 animaux de Safari Park Dvůr Králové de République Tchèque, Flamingo Land de Grande-Bretagne, et de Ree Park Safari au Danemark 
  • Depuis 2009 – Bisons d’Europe en Roumanie, Pologne et Azerbaïdjan : Dons d’animaux du Zoo de Pescheray, du Parc de Thoiry et du Parc Animalier de Sainte Croix, etc 
  • En 2020 – Chouette de l’Oural en Allemagne : Dons d’animaux du Zoo d’Amiens et du Parc Animalier de Sainte Croix
  • Depuis 2005 – L’Oryx algazelle (EW) en Tunisie, coordonné par le zoo de Hannovre : Dons d’animaux de divers zoos dont le Zoo de La Palmyre, Parc zoologique de La Barben, Parc Zoologique de Paris
  • Depuis 1988 – L’Oryx d’Arabie en Arabie Saoudite : Dons d’animaux de la Ménagerie du Jardin des Plantes et d’autres zoos européens et américains
  • Depuis 2005 – L’Addax au Maroc, coordonné par le zoo de Hannovre : Don d’animaux du parc Zoologique de Paris, etc
  • Le Vison d’Europe en Estonie, en Espagne, etc : coordonné par le Zoo de Talinn
  • L’Ibis chauve (EN) en Autriche, et en Espagne en particulier avec le programme « Proyecto Eremita » : Dons d’animaux du BioParc de Doué la Fontaine, du Zoo d’Upie, du Parc zoologique et botanique de Mulhouse, Parc de Clères, Réserve Africaine de Sigean, etc
  • Outarde canepetière (NT) en France : Dons d’animaux de la Réserve zoologique de la Haute-Touche, de Zoodyssée, de la Ménagerie du Jardin des Plantes
  • Tortue cistude (NT) en France : Dons d’animaux de la Réserve zoologique de la Haute-Touche, de Zoodyssée, de Branféré, du Parc zoologique et botanique de Muhouse
  • Apron du Rhône en France : Dons d’animaux du Muséum de la citadelle de Besançon
  • Ecrevisse des torrents en France : Dons d’animaux du Muséum de la citadelle de Besançon
  • Criquet de Crau en France : Dons d’animaux du Parc de Thoiry
  • Grand hamster en France : Dons d’animaux du NaturOParc
  • Cigognes blanches : Dons d’animaux du NaturOParc, du Parc animalier de Sainte-Croix
  • Escargot Partula à Tahiti :  Dons d’animaux du Parc de Thoriy
  • ETC !

J’ai trouvé un animal sauvage blessé (oiseaux, écureuil, renard, etc) puis-je l’amener dans un parc zoologique ?

Si un animal sauvage blessé est recueilli, l’objectif est de le soigner puis de le relâcher au plus vite. Pour cela les centres de soins de la faune sauvage sont les structures autorisées et les plus adaptées. Vous pouvez consulter les sites suivants afin de connaître le centre le plus proche de chez vous : 

En métropole :

En outre-mer : 

Dans tous les cas, sachez qu’un particulier n’est pas autorisé à détenir un spécimen de la faune sauvage française, et que garder illégalement un individu pour l’élever à la maison ne peut que nuire à cet animal !

L’Espace Rambouillet, le Parc d’Isle, Marineland, le Zoo de Guadeloupe, et le Zoo de Guyane mettent à disposition d’un centre de soins : financement, expertise et structure !

Puis-je avoir un singe ou un fauve chez moi ?

SURTOUT PAS ! Les animaux sauvages, dont les fauves et les primates, ne sont pas faits pour être des animaux de compagnie ! 

Ces animaux ont des besoins spécifiques et demandent donc des connaissances sérieuses. Même le mignon petit singe, vu sur un marché au Maroc par exemple, peut devenir extrêmement puissant et dangereux à l’âge adulte. Le Macaque de Barbarie (ou Magot) est d’ailleurs une espèce en danger d’extinction menacée par le trafic destiné à alimenter le marché illégal de magots en tant qu’animal de compagnie. L’AFdPZ et ses membres soutiennent le programme « Barbary Macaque Awareness and Conservation » (http://www.barbarymacaque.org/fr/ ) qui lutte pour la sauvegarde de cette espèce via l’éducation des populations locales et la protection de son habitat.

Pour des raisons de bien-être animal, de protection des espèces, et de sécurité des personnes, la détention d’individus de faune sauvage par des particuliers est généralement interdite. Elle est, dans tous les cas, soumise à une règlementation stricte contrôlée par les autorités. Aujourd’hui même les tortues dites de « Floride » sont interdites aux particuliers depuis l’arrêté du 10 août 2004. Enfreindre ces règles vous expose à la saisie de l’animal, une peine de prison et jusqu’à 15 000€ d’amende !

De plus, la possession de Nouveaux Animaux de Compagnie (NAC) crée de nombreux problèmes, notamment lorsque des individus sont relâchés dans la nature (oiseaux, petits mammifères, reptiles…) pouvant ainsi devenir des Espèces Exotiques Envahissantes, comme la Tortue de Floride ou l’Erismature à tête rousse.

Plus d’infos sur : http://especes-exotiques-envahissantes.fr/

Pourquoi les animaux saisis ne peuvent être systématiquement remis dans la nature ?

Tout d’abord le placement et le déplacement d’un animal saisi doit être réalisé en respectant la procédure judiciaire qui peut prendre plusieurs mois, voire années. Ainsi en règle générale, il est souvent demandé par la justice que l’animal reste dans une structure en France jusqu’au jugement. En cas de saisie conservatoire, si le jugement le prévoit, il faut qu’il soit possible de restituer l’animal à son propriétaire initial. 

Les animaux saisis sont malheureusement souvent des animaux présentant des états  physique et psychologique dégradés. Ainsi leur état de santé ne leur permettrait pas de supporter un nouveau stress comme un long transport et une nouvelle modification de leur milieu de vie. Certains devront même recevoir des soins adaptés tout au long de leur vie. 

Les animaux saisis peuvent avoir différentes origines. Ils peuvent soit avoir été prélevés illégalement dans la nature ; soit être nés hors de leur milieu naturel et être détenus dans de mauvaises conditions et/ou sans autorisation. 

Si l’individu a été prélevé dans son milieu naturel, son pays, et a fortiori sa localité, d’origine sont inconnus puisqu’en cas de trafic, les animaux transitent souvent par plusieurs pays avant d’arriver dans le pays où ils ont été saisis. 

Il faut donc en tout premier lieu réaliser des analyses génétiques pour identifier précisément l’origine exacte des animaux pour les relâcher au sein de leur sous-population. Faute de quoi, le relâché d’un individu peut être la source d’une pollution génétique d’une population locale. 

Et, le renvoi de l’animal dans son pays d’origine ne peut se faire que s’il existe un milieu sécurisé dans le pays (zone protégée par ex), afin que l’animal ne retombe pas dans le circuit du trafic. 

Si l’individu est né ex situ (ou s’il est resté hébergé hors de son milieu naturel pendant une période prolongée), il nécessite une phase de réhabilitation longue comme pour une réintroduction. Or les réintroductions ne se font que pour des raisons impératives de conservation car elles sont dangereuses pour l’individu. Il faut noter qu’un individu n’est pas réintroduit pour son propre bien-être mais pour la sauvegarde d’une espèce en voie de disparition dans une zone où les menaces ont été éradiquées. 

Le lâcher d’un animal fortement imprégné dans la nature pourrait exposer l’animal mais aussi, suivant les espèces, les populations humaines locales à des dangers et se poserait donc une question de sécurité. 

De plus, que l’individu provienne de la nature ou pas, il existe un risque réel de contamination. En effet, l’animal peut être porteur sain d’une maladie et la transmettre aux populations indigènes qui en sont indemnes, et inversement un animal né ex situ réintroduit peut être touché par une maladie contre laquelle il n’est pas immunisé. Les tests sanitaires sont donc indispensables. 

Dans tous les cas, la réalisation du protocole de réhabilitation, des analyses génétiques, des tests sanitaires et le coût du transport dans le pays d’origine constituent un obstacle financier conséquent. 

Enfin, la législation de certains pays source ne permet pas toujours d’envisager un retour de l’animal dans son milieu.

Les parcs zoologiques aident à leur niveau en :

  • Fournissant à des animaux en perdition/détresse un hébergement de qualité auprès d’experts de la faune sauvage, 
  • Participant à la lutte contre le trafic des espèces en permettant aux autorités de saisir des animaux détenus illégalement puisqu’un placement est trouvé pour ces animaux, 
  • Eduquant le grand public à la problématique des NACs et du trafic animal, 
  • Mettant expertise et financement au service d’ONG, comme l’Association Tonga Terre d’Accueil qui œuvre pour le sauvetage et la réhabilitation de félins et de primates saisis ou abandonnés.

Comment sont contrôlés les parcs zoologiques ?

En France, pour être ouvert au public, un parc zoologique doit respecter la règlementation en vigueur (notamment l’arrêté du 25 mars 2004 qui est une transposition de la Directive européenne pour les zoos 99/22), bénéficier d’une Autorisation préfectorale d’ouverture, et avoir dans son équipe dirigeante une personne titulaire du certificat de capacité pour les espèces hébergées. C’est cette dernière qui, après un passage devant une commission d’experts (incluant un représentant du Ministère de l’Ecologie), est reconnue compétente par le Préfet pour définir les conditions d’hébergement, de présentation, de soins respectant le bien-être des individus en collaboration avec le vétérinaire. Elle est également responsable de la sécurité des humains comme des animaux au sein de l’établissement.

 

En plus des contrôles effectués au sein de tous les Etablissements Recevant du Public (ERP), les parcs zoologiques sont contrôlés régulièrement par :

  • Les inspecteurs de l’environnement de l’Office Français pour la Biodiversité (OFB)
  • Les Douanes pour la traçabilité des animaux
  • Les inspecteurs de la Direction départementale de la Cohésion Sociale et de la Protection des Populations (DD(CS)PP) pour ce qui relève de l’aspect sanitaire des établissements, du respect du bien-être animal, du transport des animaux, des Espèces Exotiques Envahissantes, de la règlementation ICPE (Installation classée pour la protection de l’environnement), de l’autorisation préfectorale d’ouverture, et de tous les sujets vétérinaires
  • Les inspecteurs de la Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL) pour la règlementation CITES et donc l’identification des animaux

La visite d’un parc zoologique

Suite à la visite d’un parc zoologique, j’ai une plainte à formuler, à qui dois-je m’adresser ?

Dans tous les cas, si une situation dans un parc vous interpelle, n’hésitez pas tout d’abord à interroger un membre de l’équipe du parc. Il peut y avoir des explications à ce que vous observez :

  • Il s’agit d’un très vieil animal, cela peut expliquer le fait qu’il se déplace difficilement à cause de l’arthrose et aussi qu’il soit moins gros que ses congénères parce que sa masse musculaire a diminué et qu’il a plus de mal à manger et à assimiler ses aliments. 

Il n’est d’ailleurs pas rare de rencontrer des animaux âgés en zoos puisque les animaux vivent plus vieux en parcs zoologiques que dans la nature. En effet, la vie en parc zoologique est moins dangereuse que dans la nature car les animaux ont à manger et à boire, sont protégés de leurs prédateurs, des intempéries, des conflits avec les hommes, et qu’ils bénéficient de soins vétérinaires lorsque cela est nécessaire.

  • Il s’agit d’un animal saisi, détenu auparavant dans des conditions non adaptées à son espèce et imprégné par l’homme, il a développé le comportement stéréotypé que vous observez (perroquet qui se pique, primate agressif, félin qui tourne en rond, etc). 

Afin d’aider la lutte contre le trafic, les parcs zoologiques répondent dans la mesure du possible favorablement aux demandes des autorités pour héberger un animal saisi. Malheureusement, ces animaux saisis conservent souvent les stigmates physiques et psychologiques de leur ancienne vie, et il faudra de longs mois de soins et de réhabilitation pour que l’animal retrouve un comportement correct.

  • Il s’agit d’un animal accidenté dans la nature, par exemple un oiseau qui ne peut plus voler avec une aile fracturée, qui malgré les soins vétérinaires reçus en centre de soins spécialisé n’a pu retrouver toutes ses capacités et ne peut donc pas être relâché. 

Les animaux de la faune locale (cigognes, hérons, rapaces, chevreuil, renard roux, etc) accidentés dans la nature sont initialement pris en charge dans un centre de soins pour faune sauvage. Lorsque l’animal ne recouvre pas suffisamment ses capacités naturelles pour être relâché et survivre seul, il y a deux possibilités : soit il est euthanasié parce qu’il souffre, et/ou n’a aucune possibilité de vie décente, soit il peut – dans certains cas précis – être placé dans un parc zoologique.

Les parcs zoologiques fournissent ainsi une alternative pour ces animaux qui sont, dans la grande majorité des cas, handicapés du fait des activités humaines : collision avec une voiture ou une éolienne, erreur de tir de chasse, trouvé jeune et élevé illégalement en famille et donc imprégné à l’homme, etc.

Si le parc n’a pu vous fournir une explication satisfaisante, vous pouvez écrire en précisant le lieu et la date de votre visite et joindre des photos :

Peut-on visiter les parcs zoologiques avec son chien ou un autre animal de compagnie ?

Dans la plupart des zoos, les animaux de compagnie ne sont pas admis quelle que soit leur taille. 

Nous vous conseillons donc de prévoir une solution de garde en amont de votre visite. Certains parcs pourront vous proposer des solutions locales, renseignez-vous avant.

Dans tous les cas, ne laissez pas vos animaux dans les voitures, même sur un parking ombragé les fenêtres de la voiture entrouvertes, cela se révèle souvent mortel pour nos compagnons !!!

Puis-je visiter un parc zoologique en hiver ?

Les fermetures hivernales dépendent de chaque zoo. Certains sont ouverts toute l’année mais nous vous conseillons de vérifier auprès de l’établissement concerné avant votre visite.

Peut-on nourrir les animaux dans les parcs zoologiques ?

Sauf exception contrôlée par l’établissement et expressément autorisée par celui-ci (animaux de la mini-ferme, ou une autre espèce dans le cadre d’une activité encadrée type « soigneur d’un jour » par exemple), il est interdit de nourrir les animaux des parcs zoologiques.

Les animaux sauvages sont fragiles. Le vétérinaire du parc élabore pour chaque animal un régime alimentaire adapté à son espèce. Donner à manger à un animal un aliment non compris dans ce régime compromet sa santé et peut le rendre gravement malade.